Petit résumé des épisodes précédents
Si je n'ai pas été très présente sur ce blog ces dernières semaines, c'est tout simplement que je n'avais pas grand chose d'intéressant à dire.
Côté lectures, le mois de février ne fut pas très exaltant. Rien de passionnant, à part l'excellent roman de Tarum Tejpal, La vallée des masques, qui dénonce très intelligemment et sous la forme d'un conte moderne, les dangers de toute forme d'intégrisme et de totalitarisme, qui ne peuvent conduire qu'à la déshumanisation de la société et à la dictature. Si je n'en ai pas fait un vrai billet c'est juste que j'ai manqué de temps.
J'ai également lu quelques romans en VO dont je n'ai rien à dire (d'autant qu'ils ne sont pas encore traduits en français), et quelques BD dont je ne parlerai pas non plus.
Côté librairie, je m'en tiens à l'objectif qui est le mien en 2013 : ne pas acheter plus d'un livre par mois (le livre de février n'est pas un roman). Cela peut paraître peu, mais j'ai décidé de ne plus encombrer ma (mes) bibliothèque(s) avec des livres inutiles. Tout ce que je lis en ce moment vient donc de la bibliothèque municipale ou de ma PAL.
Côté PAL justement, je n'ai pas eu la main très heureuse non plus avec les deux romans que j'en ai tirés et que j'ai tous deux abandonnés en cours de route, l'un était très médiocre, l'autre trop ennuyeux, malgré un certain charme rétro.
Toujours dans le but de désencombrer ma bibliothèque, je me suis livrée à un gros désherbage en expédiant deux cartons (environ 150 livres) à Bibliothèque sans Frontières. Et ce n'est qu'un début.
Mais ce qui m'a vraiment occupée ces derniers semaines, c'est la pratique de la calligraphie latine, que j'étudie depuis quelques mois, et qui ne cesse de m'enchanter car c'est un exercice très esthétique, mais aussi très méditatif, en ce sens qu'il exige une grande concentration et une attention portée à chaque geste.
Enfin, côté voyage, je me suis offert une petite semaine de vacances aux Canaries, sur l'île de la Gomera où j'ai pu me livrer à mon sport favori et trouver ce soleil qui nous fait si cruellement défaut.
A bientôt pour un "vrai" billet.