Mai à Paris (et ailleurs)
Ce billet sera bref car je n'ai pas été beaucoup à Paris ce mois-ci, et les rares journées que j'ai passées au bureau ont été bien chargées (quand on travaille dans une société internationale et que l'on fait un métier de services, le mois de mai c'est un peu compliqué….) Donc, pas trop de sorties.
Street art - Rue Henri Noguières (Paris 19)
Côté théâtre
Dévoration [avec amour ou avec haine mais toujours avec violence] de Maxime Franzetti, au théâtre de Vanves.
Tous les rapports sociaux vus sous l'angle de la dévoration : amour, amitié, famille, pouvoir… Un théâtre du corps qui jette les acteurs par terre et les spectateurs hors d'eux-mêmes. Je n'ai pas adhéré à tout, mais c'est un théâtre qui ne laisse pas indifférent.
Cette pièce sera au 104 (Paris 19) les 3 et 4 juin 2015.
Côté ciné
Trois souvenirs de ma jeunesse d'Arnaud Despléchin.
Après des années passées à l'étranger, Paul Dédalus rentre en France et se souvient de trois épisodes du passé : sa mère psychologiquement fragile, un voyage surréaliste er URSS et, surtout, sa rencontre et sa passion avec Esther. J'ai adoré ce film, les images, la mise en scène, le jeu des acteurs, mais je n'arrive pas à trouver les mots pour en parler.
Côté concert
La Passion selon Saint-Jean de Bach, par mon ancienne chorale, Voix-si voix-la, dirigée par Jean-Christophe Grégoire-Albertini.
Magnifique.
(et beaucoup de regrets d'avoir arrêté le chant choral)
Côté escapades
Je suis allée faire un petit tour au Festival des Etonnants voyageurs de Saint-Malo, un festival que j'adore : une ville entièrement dédiée à la littérature pendant trois jours, des rencontres, des débats, des expos, un salon du livre, des écrivains à tous les coins de rue. Un bonheur.
(et je vous renvoie au très joli compte-rendu d'Enitram).
(à suivre…)